La pendule
Je regarde s’enfuir en ronde ridicule, Ce temps toujours perdu, qui court dans la pendule. Et, dérive en ces heures, blêmes, qui m’emportent, En chanson de l’automne que Verlaine m’apporte.

Je regarde s’enfuir en ronde ridicule, Ce temps toujours perdu, qui court dans la pendule. Et, dérive en ces heures, blêmes, qui m’emportent, En chanson de l’automne que Verlaine m’apporte.